
La pluie doit probablement jouer sa partition dans les flaques d'eau, mais je ne la vois pas, je ne l'entends pas. Les oreilles dans le livre ouvert de la radio, entre littérature, poésie et science ( de l'embryon), je cours sur mon fil noir, me promener sur les côtes rocheuses et escarpées de cette île que je construis en marge de mon paysage imaginaire.
Un univers autour de la mémoire, du temps et des gens qui nous entourent, qui ne sont plus et qui nous composent. Espace infini dans lequel je...
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