
Comme une même note légère dans deux musiques qui se ressemblent un peu, je retrouve dans le travail d’Anne Levillain, ma propre sensibilité à la ligne, au trait, au fil qui fait le paysage.
De la rêverie de l’enfance, elle garde un sens de observation curieuse et amusée : le regard suspendu à la goutte de pluie qui file, elle la multiplie à l’envi et les voilà notes vibrantes sur une partition joyeuse.
Pattes d’araignées, branches battant le vent, traces animales, végétales, horizon, Anne...
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